Cheb Hasni: la légende continue!

Il  était le messager de l’amour (marsoul el houb) en paraphrasant Abdelwahab Doukali, il célébrait l’espoir et l’espérance, le roi du raï sentimental, l’enfant terrible de Gambetta, le quartier populaire et populeux d’Oran, «Tchato» (nez épaté, en espagnol) comme aimaient à le surnommer ses fans, l’auteur mythique de Tal ghiyabek ya gh’zali, Gaâ n’ssa, Baïda mon amour, Visa ou encore Arwahi netfahmou : Hasni Chekroune alias cheb Hasni. Il y a voilà 18 ans qu’il disparaissait prématurément. Lâchement Assassiné, un certain jeudi  29 septembre 1994. Une triste et lacrymale date à marquer d’un pierre noire.

Cheb Hasni, le raïman martyr-Photo:Dr-

La folie meurtrière, la barbarie et l’ignominie humaine ont fauché, Cheb Hasni.  Arraché et ravi à la vie à la fleur de l’âge, à 26 ans. Laissant du coup des millions et des millions de jeunes, orphelins, l’ayant adopté et porté dans leur cœur tant s’étaient-ils retrouvés, reconnus et énamourés par la flèche de Cupidon, à travers sa musique, car transférés et transportés. Hasni les faisait rêver. Aujourd’hui, c’est le 18e anniversaire de la disparition tragique et cruelle de cheb Hasni. C’était une certaine et cruelle journée du 29 septembre 1994, un jeudi. Cheb Hasni avait rendez-vous avec son destin, avec la mort.

Le baiser de Judas Iscariote

Il était environ 11h30, alors que Hasni se trouvait à quelques mètres du seuil de son domicile, dans son quartier natal Gambetta, le désormais appelé Haouch Hasni depuis sa mort, un individu s’approche de lui. Croyant qu’il avait affaire à un fan, Hasni se prêtera à la perfide sollicitation en abordant avec confiance celui qui sera son assassin. Celui-ci enlacera Hasni en lui posant amicalement le bras sur l’épaule tout en discutant avec lui. Et puis une détonation déchire le ciel. Hasni s’écroule. Il vient de recevoir une décharge d’une mahchoucha (canon scié) à bout portant, au cou. Il sera achevé par un second coup de feu à la tête. Houari, voyant son frère Hasni gisant dans une mare de sang, accourt en appelant à l’aide. Les tueurs prendront la fuite à bord d’un véhicule de marque R12 qu’ils abandonneront au quartier Bel Air. Boualem Disco Maghreb, l’éditeur oranais, se souviendra : «La veille, mercredi, nous nous sommes vus, vers 19h, pas loin de la station régionale de l’ENTV, et il m’avait invité à l’accompagner pour le mariage d’une amie commune, jeune policière à l’aéroport d’Oran, à Bel Air où ses assassins avaient laissé la voiture de leur abject crime, le lendemain…» Hasni sera évacué vers le CHU d’Oran où il succombera à ses blessures.

L’idole des jeunes

La terrible nouvelle se répandit comme une traînée de poudre. Et comme dit l’un de ses amis : «Ce jour-là, non seulement Oran paraissait exiguë mais aussi l’Algérie tout entière. Une grosse perte !…» Ils étaient des centaines et des centaines à se rendre à l’hôpital pour s’enquérir de l’état de santé de l’idole des jeunes. Tout un pays est endeuillé. Le raï a été mutilé. Et la musique algérienne est en berne. Hasni est le premier martyr de la chanson grossissant la liste génocidaire, macabre et rouge sang des chasseurs de lumières comme dirait Idir. Rachid Baba Ahmed, le producteur et arrangeur, cheb Aziz, la chanteuse Lila Amara et son mari Bachir, Matoub Lounès (qui était kidnappé par le GIA quand Hasni a été assassiné) ainsi que d’autres auparavant. Comme le grand écrivain Tahar Djaout, l’émérite dramaturge Abdelkader Alloula, le comédien Azzedine Medjoubi, le journaliste Saïd Mekbel… Une interminable litanie assourdissante de douleur ! L’intolérance inepte et mortifère avait décidé d’ôter la vie à Hasni parce qu’il était coupable d’innocence. Il a été assassiné parce qu’il représentait l’expression juvénile algérienne, un idéal candide faisant rêver des légions de jeunes épris éperdument des choses de la vie, des écarts existentialistes et de l’amour aussi et surtout des filles. Il savait parler aux jeunes.

Enfant de la balle

Loin de tout calcul ou autre considération politico-politicienne. Le raï de cheb Hasni est apolitique. Vraiment à l’eau de rose mais mâtiné de temps à autre de fulgurances protestataires d’une jeunesse désabusée par l’establishment, la malvie et un futur obstrué. Hasni Chekroune est né le 1er février 1968 à Gambetta, à Oran. Il est issu d’une modeste famille dont le père était soudeur ayant quitté le foyer, alors qu’il était très jeune, et d’une mère subvenant difficilement aux besoins de tous les membres des Chekroune en exerçant le métier de femme de ménage. Dans sa prime enfance au lieu de fréquenter l’école, il se rendra à celle buissonnière au CEM Bachir Kebbatti. Il arrêtera son cursus scolaire en 4e AM. Doué pour le chant choral et le football, le jeune Hasni s’essayera à la balle ronde au sein du club de seconde division l’ASCO. Il y fera montre d’un talent avéré en tant que technicien du cuir. La preuve ! Plus tard, parmi ses amis intimes, il comptera le célèbre n°10 algérien Lakhdar Belloumi avec lequel il partageait une passion dévorante du foot. Ils évoluèrent ensemble dans une équipe du MPO, à titre amical, et ce, plusieurs fois en salle. Entre le foot et sa marotte du raï, Hasni avait vite fait son choix. Son cœur chavirait et tanguait aux rythmes d’Ahmed Wahby, de cheb Khaled, de cheb Sahraoui ou encore de Houari Benchenet qu’il reprendra, alors âgé de 16 ans, dans les fêtes et autres mariages, en catimini, à l’insu de sa famille. Deux ans plus tard, Hasni fera ses premières armes dans les cabarets et casinos, lieux de l’underground du raï et milieu ambiant de la corniche oranaise. Son baptême du feu se fera au Biaritz, puis à la Guinguette, au Casino ou encore à Beau Séjour. A star is born ! Le bouche à oreille aidant, la bonne étoile de Hasni ne cesse de monter.

Il casse la baraka…

Cheb Hasni: « Mazal Souvenir Andi« !-Photo:Dr-

Remarqué par un producteur d’une maison de disques oranaise, il signera son succès d’estime, à 19 ans, en formant un duo de chic et de choc, à la manière de Fadéla et Sahraoui, avec une raïwoman à la voix très «rock» (rauque), cheba Zehouania, de huit ans son aîné. Baraka M’ranika, une chanson paillarde, jugée licencieuse et shocking par le prosélytisme extrémiste naissant, fut un tube de l’été 1987. Mais après une série de flops, Hasni, ambitieux, se décalera du raï viril, machiste et de l’amour vache, de ses pères spirituels et ses pairs, les Khaled, Mami, Sahraoui, Hamid, Hindi, Zahouani… Il innovera en adoucissant les mœurs musicales du raï. Il créera son propre style. Un raï romantique, mélodique, langoureux et sentimental porté par une voix plaintive, émouvante, pathétique et déchirante. Avec cette beauté de la tristesse qui fera sa marque de fabrique. «Pour percer, il fallait trouver un moyen, afin de s’imposer sur la scène artistique. Les grands monopolisaient tout le marché. Seul le style sentimental comme nouveau genre pouvait m’assurer le succès. C’est pour cela que j’ai opté pour ce style», indiquera-t-il dans une interview à El Moudjahid-Ouest en octobre 1992. Un raï-lamento entraînant auquel il insufflera une seconde jeunesse et un bain de jouvance sur des textes et des paroles propres et soft. Avec Hasni, le raï pénétrait enfin dans les chaumières par opposition à celui hard à la terminologie gênante.

Concerto pour lamento

Ne volant guère son titre de crooner et affublé de Julio Iglesias du raï, Hasni explosera avec Gaâ N’ssa, Baïda mon amour, Visa, Consulat, Aâlach Ya Aynia, Nehlef Jamais de la vie et bien sûr son lancinant, prémonitoire et testamentaire hymne national de l’espoir Tal Ghiabek Ya Gh’zali. Un pécieux legs qui demeure toujours en vogue et très prisé par la jeunesse. C’est dire que Hasni était un artiste «leader» à sa manière. Il touchera aussi plus d’un en interprétant des titres autobiographiques portant sur son divorce, la séparation de son fils Abdellah et son déchirement familial : Mouhal n’sbor aâla oualdi, Men fraqha makaditche ou encore Saraha Raha. Ses compositions raï mêlaient aussi bien des emprunts allant de la variété française (Michelle Torr ou Comme d’habitude avec Samaât Enass) au rythme baladi et égyptien de George Wassouf, Abdelhalim Hafez ou Farid El Attrache (Aâlache ya aynia, Aâlache ya bent enass, Omri Omri…) en passant par de belles reprises de Houari Benchenet, comme Djebel Wahrane, Rabta el hana et surtout l’excellent Chira li nabghiha. Hasni chantera aussi du wahrani pur jus tel que Djar alia el hem du poète Abdelkader El Khaldi. Hasni aura été un artiste qui, malgré les oripeaux des cieux plus cléments, n’a pas voulu quitter son pays.

Gambetta, mon amour !

Pourtant, il avait chanté Eli fiha fiha encourageant les jeunes à être candidats à l’exil. «Ma mère, Gambetta et voir mes amis, c’est l’Amérique pour moi…», rétorquait-il à ses proches l’encourageant à partir outre-mer pour fuir le terrorisme. Curieusement et contrairement à ce qu’on croit, le plus grand vendeur de K7 et CD raï, depuis… 10 ans, reste l’indétrônable et l’indémodable Hasni. Il n’y a pas un jour qui passe où l’on ne sort pas une K7 de Hasni. Mais dans tout cela, sa mère ou bien les ayants droit ne touchent pas un copek sur les droit d’auteur. Son catalogue appartient à tout le monde et à personne. Voilà le drame de Hasni qu’on pleure ! La relève perpétuant le raï-love est assurée par des templiers comme Nani, Houari Dauphin, cheb Réda, cheb Hassan, cheb Akil, Hasni Junior, cheb Amrou ou encore chez des filles comme Djenet ou Dalila. Chaque jour, au cimetière où il repose, sa tombe est soit fleurie ou arrosée. Empreintes fidèles de sa famille et de ses fans. Il est entré dans le panthéon des artistes prématurément morts comme Otis Redding, Jim Morrison, Abdelhalim Hafez, Peter Tosh, Marvin Gaye, Jeff Buckley, Michael Jackson, Amy Winehouse…Sur son épitaphe éternelle, les paroles de sa chanson « Galou Hasni mat »( ils ont dit que Hasni était mort), deux ans avant sa disparition où des rumeurs le donnaient pour mort : «Vous m’avez tué, alors que je suis vivant !» La légende continue !

Whitney Houston : hommage posthume de stars

Une brochette de stars dont Céline  Dion, Jennifer Hudson, R.Kelly, et Usher vont donner de la voix dans une émission  spéciale en hommage à la chanteuse défunte Whitney Houston, qui s’est éteinte  en février 2012 dernier à l’âge de 48 ans, ont annoncé jeudi les organisateurs de  l’opération.   

Whitney Houston: I Always Will Love You!-Photo:DR-

Intitulée en référence au tube planétaire de 1992 de la star américaine,  l’émission « We will always love you: a Grammy salute to Whitney Houston » sera  enregistrée au Nokia Theatre de Los Angeles (Californie), le 11 octobre, juste  huit mois après la découverte du corps inanimé de la chanteuse dans un hôtel de Beverly Hills, a indiqué la Recording Academy.  L’émission-concert sera ensuite diffusée aux Etats-Unis le 16 novembre, sur   la chaîne CBS. Aucun détail n’a été donné quant à une diffusion internationale. Les téléspectateurs verront à cette occasion des éléments exclusifs sur la  diva, notamment des interviews et autres extraits la concernant.

L’une des plus belles voix soul et R’n’B, l’auteure du hit I Wanna Dance With Somebody, I Always Love You et One Moment In Time, est décédée, samedi 11 Février 2012, au Beverly Hilton Hotel, à Los Angeles (Californie, USA), et ce, à l’âge de 48 ans. Cette grande chanteuse avait été retrouvée sans vie dans sa baignoire du Beverly  Hilton, la veille de la remise des Grammy Awards.  Sa mère « spirituelle », la diva Aretha Franklin, s’était dite bouleversée à l’issue de cette douloureuse : «  Je ne peux en parler maintenant. C’est bouleversant et incroyable. Je n’ai pas pu le croire en lisant  (’annonce de son décès)  au bas de l’écran du téléviseur ».

TWITTER REACTIONS

Les réactions en chaîne des pop stars, avaient alors « explosé » sur Twitter. Lady Gaga aura une pensée pour Whitney  Houston : « Quand j’ai écrit Born This Way( titre produit par Red One), j’ai imaginé Whitney l’interprétant. Je n’étais pas assez sûre pour être une star… ». Christina Aguilera avancera le même « tribute » : « Nous venons de perdre une autre légende. Amour et prières à la famille de Whitney. Nous la regretterons. ». Nicki Minaj ( featuring actuel avec Madonna sur le single Give Me All Your Lovin’): “Jesus Christ, pas Whitney Houston. La meilleure de tous les temps…”.
Jennifer Lopez  qualifie Houston de “ l’une des plus grandes voix de notre temps.”.Gloria Estefan confiera qu’”elle avait été touchée par la gentillesse de Houston: “ Whitney était toujours douce avec moi ! Je l’admirais pour des combats. Quel dommage ! Je suis très triste par cette nouvelle…”. Toni Braxton (connu par le hit Un-break My Heart) exprimera sa gratitude à l’endroit de Whitney : «  Elle a ouvert la voie à chacune des chanteuses actuelles et dans l’industrie de la musique. Une Icône, une légende, une innovation, une surprenante et humble personne… La meilleures au monde ! ». Mariah Carey ( Hero, Whithout You) affectée, elle saluera la mémoire de Houston : « J’ai le coeur brisé et suis en pleurs après la mort choquante de mon amie, l’incomparable Mme Whitney Houston ». Rihanna touchée encore la mort de Withney Houston a simplement écrit : « Je n’ai pas de mots ! Juste des pleurs ».

REHAB

Dans les années 1990, Whitney Houston, sa vie a été émaillée par des problèmes d’addiction à la drogue, un marriage tumultueux avec le chanteur Bobby Brown et des démélées avec la justice. Dans une interview datant de 2009 donnée à Oprah Winfrey, Whitney Houston avouera son accoutumance à la drogue  comme « une lourde consommatrice de marijuana  et de cocaine. ». Ce qui altèrera sa voix d’or qui commencera à devenir fluette et éraillée.  Toutefois, en 2009, les titres I Look To You et Million Dollar Bill , démontraient qu’elle avait une beau « filet » de voix. Ses fans, ses pairs et les stars semblent toujours lui rendre hommage en reprenant son hit I Will Always Love You.

A Whitney Houston Tribute Concert and Broadcast

Celine Dion, Jennifer Hudson and Usher will be among the performers paying tribute to Whitney Houston, who died at 48 on Feb. 11, in an hourlong homage, to be televised by CBS on Nov. 16.

Whitney Houston: The greatest diva!-Photo: all rights reserved-

The show, “We Will Always Love You: A Grammy Salute to Whitney Houston,” will offer an overview of Ms. Houston’s career, which spanned more than two decades during which she sold a reported 170 million recordings and videos, and won six Grammys and two Emmys. Included will be footage of several of her most memorable performances, as well as previously unseen concert footage, interviews and reminiscences by other musicians about Ms. Houston’s work.

But some of the show’s likely centerpieces will be new performances of songs associated with Ms. Houston, by Ms. Dion, Ms. Hudson, Usher and other artists, which will be recorded at a concert at the Nokia Theater in Los Angeles on Oct. 11.
A compilation of 18 of Ms. Houston’s hits, named, like the television tribute, for the most famous of them, “I Will Always Love You – The Best of Whitney Houston,” will be released by RCA on Nov. 13. It will include two previously unreleased recordings: “Never Give Up” and a duet version of “I Look to You” with R. Kelly that was recently released on iTunes. In http://www.nytimes.com/

Le soleil d’Allah brille sur Diam’s

Après un long silence, la rappeuse  française Diam’s revient, dans une autobiographie à paraître jeudi, sur sa conversion à l’Islam et sa décision de porter le voile, en racontant comment,   grâce à sa foi, elle s’est sortie de l’enfer de la dépression et de la « prison   dorée » du succès.    

Novembre 2009. Paris-Match publie un long reportage sur Diam’s,   photographiée voilée et sortant d’une mosquée en compagnie de son mari. En plein débat sur l’interdiction du voile intégral dans les lieux publics,   ces clichés volés provoquent un scandale. Avec son album « Dans ma bulle » (2006), écoulé à un million d’exemplaires,  a rappeuse était devenue pour beaucoup une porte-parole et un modèle pour les   filles des banlieues. Le malaise est d’autant plus grand que Diam’s refuse de s’exprimer dans les   médias, renvoyant aux textes de son album « S.O.S », qui paraît en décembre 2009. Trois ans plus tard, la jeune femme de 32 ans, mère d’une petite Maryam de quatre mois, rompt son silence avec une autobiographie, intitulée « Diam’s, autobiographie » (éd. Don Quichotte). Enfant d’un couple franco-chypriote, Mélanie Georgiades y raconte son

Diam’s publie une autobiographie expliquant sa sortie de sa « prison dorée »-Photo:Dr-

enfance marquée par l’absence du père, son mal-être adolescent qui l’a conduite   à une première tentative de suicide à 15 ans et sa découverte du rap.  Au sommet de sa gloire, Diam’s côtoie Snoop Dogg et Jamel Debbouze, gère trois sociétés, découvre le plaisir d’être adulée du public et vit « à mille à   l’heure ». Mais la chute est brutale. Le 8 mars 2008, elle joue en direct du Zénith de Paris pour les Victoires  de la musique. Peu de gens savent alors qu’elle vient juste de sortir d’une   clinique psychiatrique et qu’elle en reprendra le chemin quelques jours plus tard.

Elle cherchait sa voie

Abrutie de médicaments, ne parvenant pas à trouver d’aide auprès des   psychiatres, la chanteuse sombre dans la dépression jusqu’à une « overdose de somnifères ». Catholique sans avoir eu de véritable éducation religieuse, la chanteuse   dit avoir trouvé le salut d’abord dans la prière, puis dans la lecture du Coran   lors d’un voyage à l’île Maurice en décembre 2008.  Là-bas, elle se convertit seule à l’islam et décide de porter le voile. Elle prend aussi la décision de publier un nouvel album sans s’exprimer   dans les médias et de créer une fondation pour les orphelins. « Je sentais bien qu’il m’était difficile de parler de religion à des gens   qui, pour la plupart n’étaient même pas croyants. Tout ce que je voulais dire   serait contenu dans mon disque. Le reste, je le garderais pour moi, comme un   jardin secret », écrit-elle. Son plan est bouleversé par les clichés de Paris-Match, « un vol, une   intrusion » dans une affaire « intime », dit-elle. Avouant avoir été « dépassée par la situation », Diam’s estime que « ce n’est   pas tant (sa) conversion qui a gêné que (son) voile ».  « Ma décision de porter le voile est le fruit d’une réflexion personnelle,   intime et mûrie, le fruit de mes lectures et de mes convictions. Jamais une   personne dans mon entourage ne m’a dicté telle ou telle conduite à suivre »,  affirme-t-elle. La jeune femme, qui vient de relancer son association pour les orphelins   africains, reste évasive sur son avenir dans la musique.  « Je suis consciente de m’être échappée d’une prison dorée », écrit-elle. AFP

Diam’s avant la rédemption-Photo:Dr-

Décès du batteur américain Bradford Lee Parker

Le batteur américain Bradford Lee Parker, du groupe disco Generation Esmeralda, est mort sur scène en plein  concert dans l’Etat de Minas Gerais (sud-est du Brésil), a annoncé lundi l’un des producteurs du groupe.   

Le batteur américain Bradford Lee Parker-Photo:Dr-

M0. Parker, 59 ans, a visiblement été victime d’un infarctus et s’est  effondré sur sa batterie au début du spectacle, dimanche à l’aube, dans la   ville de Uba, a précisé Sergio Lopes, producteur du groupe californien, cité   par le site G1 du journal O Globo.  Des images de télévision ont enregistré le moment où le batteur s’effondre   sur son instrument de musique puis tombe par terre, derrière le chanteur.  Le concert a été immédiatement interrompu et le musicien transporté à   l’hôpital. « Les médecins ont tout fait mais malheureusement, rien n’y a fait »,   a déploré M. Lopes. Le corps du musicien sera rapatrié lundi en Californie où le reste du   groupe a déjà voyagé, selon G1. Generation Esmeralda est un groupe de musique disco formé par des anciens   musiciens de Santa Esmeralda, un groupe franco-américain de la fin des années   70. AFP

US drummer Parker dies on stage in Brazil

US drummer Bradford Lee Parker of the Generation Esmeralda band died of a heart attack during a concert in the southeastern Brazilian city of Uba, one of the producers for the group said Monday.

The Generation Esmeralda Combo-Photo:All Rights Reserved-

Sergio Lopes, a producer for the group in Brazil, told the Gl news portal that the 59-year-old Parker died Sunday in the Minas Gerais state city. Television pictures showed the moment when Parker collapsed on his instrument. The show was interrupted and he was rushed to hospital. « Doctors performed all the emergency procedures but unfortunately there was no solution, » Lopes said. Parker’s body was to be flown back to California in the next few hours, G1 said. Generation Esmeralda is a disco group formed by ex-members of Santa Esmeralda, a franco-US band of the 1970’s. Copyright AFP (Agence France-Presse), 2012

Santa Esmeralda, the famous disco band (70s)-Photo: All Rights Reserved-

Emmy Awards 2012 : politiquement vôtre !

La politique s’est imposée dimanche aux Emmy Awards, où ont été distingués la série télévisée « Homeland » et son complot terroriste, ainsi que le téléfilm « Game Change » et son portrait de l’ex-égérie républicaine Sarah Palin lors de la campagne présidentielle américaine de 2008.  

La dream team de Homeland-Photo:DR-

En cette année électorale aux Etats-Unis, qui choisiront leur président le   6 novembre prochain, les membres de l’Académie des Arts et Sciences du cinéma   ont semblé préféré les thématiques contemporaines au stylisme rétro de « Mad   Men ». La série, qui était nommée dans 17 catégories et faisait figure de favorite   pour remporter son cinquième Emmy consécutif de meilleure série dramatique – le plus convoité de la soirée -est repartie bredouille dimanche, s’inclinant   face à « Homeland », couronnée dès sa première saison.  Cette brillante série, produite par la chaîne payante Showtime met aux prises un agent féminin de la CIA et  un militaire américain soupçonné de préparer un attentat terroriste contre les  Etats-Unis.  « Homeland », dont la 2e saison commence à la fin du mois aux Etats-Unis, a   également valu à ses deux acteurs principaux, Claire Danes et le Britannique   Damian Lewis, les trophées d’interprétation dans une série dramatique.   La politique est également au coeur de « Game Change », diffusée sur la  chaîne à péage HBO, qui a remporté le trophée du meilleur téléfilm pour sa  description de la campagne républicaine à l’élection présidentielle de 2008, à  travers le portrait de Sarah Palin, ex-égérie conservatrice et co-listère de John McCain.

Julianne Moore, heureuse et…élue

Le rôle a valu à Julianne Moore, à la composition stupéfiante, le premier  Emmy de sa carrière, face notamment à Nicole Kidman.  « Je me sens validée (dans le rôle) car Sarah Palin a dit qu’elle n’aimait  pas le film », a ironisé l’actrice, dans une audacieuse robe jaune canari. « Game  Change » a également remporté les Emmys du scénario et de la réalisation.  Côté comédie, « Modern Family » et ses clichés gentillets sur les familles   « modernes »-gays et mixtes, notamment , a conservé son titre de meilleur série comique, pour la troisième année consécutive.  Les trophées de meilleurs acteur et actrice comiques sont allés à Jon Cryer   pour « Mon Oncle Charlie » — qui avait gagné en 2009 le trophée du meilleur   second rôle pour la même série — et Julia Louis-Dreyfus pour « Veep », où   l’actrice révélée par « Seinfeld » incarne la vice-présidente des Etats-Unis. A l’instar de Julianne Moore, les stars de cinéma ont régné sans partage  sur les prix d’inteprétation pour téléfilms ou mini-séries: Kevin Costner a   remporté le trophée du meilleur acteur pour la série historique « Hatfields &   McCoys » et Jessica Lange a été recompensée pour le second rôle féminin pour son   personnage de voisine fouineuse et inquiétante dans la série « American Horror   Story ». La cérémonie, retransmiseáà 17h (00h00 GMT) sur la chaîne ABC (groupe Disney) depuis le Nokia Theater à Los Angeles, a débuté avec une série de   blagues du présentateur de la soirée, Jimmy Kimmel, qui n’a pas résisté, lui   non plus, à faire référence à l’élection américaine.  Il a ainsi salué la série britannique « Downtown Abbey » et sa description   des relations entre une famille d’aristocrates et leurs serviteurs, estimant   que cela donnait une idée de « la façon dont on vit dans la famille de Mitt   Romney », le candidat républicain à la Maison Blanche. Il a également ironisé sur la présence de nombreux Britanniques parmi les  nommés, due selon lui, au fait qu’on découvre « les acteurs britanniques dans les pièces de Shakespeare et les américains dans les centres commerciaux ». Les Emmy Awards, remis par l’Académie des Arts et Sciences de la Télévision, sont les récompenses les plus prestigieuses de la télévision   américaine. AFP

L’actrice Julianne Moore, récipiendaire d’un Emmy très mérité-Photo:DR-

The Emmys’ Balancing Act: Predictable, Except When Not

You can often count on Jon Stewart to offer the pithiest comment on a news event, even when the event involves him. Stewart came onstage at the 2012 Emmy Awards after a wild physical comedy bit, in which Stephen Colbert and other fellow nominees tried to restrain him, and accepted The Daily Show’s tenth consecutive Variety Show award.

Claire Danes raises the Emmy award for outstanding lead actress in a drama series for her role in Homeland-photo: All rights reserved-

(I imagine the Daily Show break room, in which writers entertain themselves by playing chess on a giant board where all the pieces are statuettes.) “Years from now,” he said, “when the Earth is just a burning husk and the aliens visit, they will find a box of these, and they will know just how predictable these f_____ _____ are.”

Predictable can be bad, but not necessarily. The Daily Show is a deserving winner, and it’s been energized in the current election year. Other awards last night gave a sense of the academy on autopilot, rewarding seemingly because they were familiar titles, fit familiar molds or had familiar stars. And still others were actual, deserving surprises.

The Emmy broadcast itself was a pretty familiar and efficient affair, chugging along crisply and coming in on time, workmanlike if not really memorable. In Jimmy Kimmel, the new host, we got not Kimmel the bomb-thrower but Kimmel the TV pro. He got in some zingers at the stars and the medium (TV’s inventor, Philo Farnsworth, he said, was responsible for Honey Boo Boo–”so nice job, dumbass”) but he and the producers did not set out to reinvent the format.

So there was a presenting segment with Ricky Gervais, but no real Gervaisian fireworks. There was a skit re-creating Breaking Bad in the form of the Andy Griffith credits—funny, but the Breaking-Bad-as-sitcom gag is already an old one. (Even the last Emmys had a sketch with Jesse Pinkman in the offices of Dunder-Mifflin from The Office.) Another funny bit—Julia Louis-Dreyfus “accidentally” getting her acceptance speech switched with Amy Poehler’s, recalled last year’s group best-actress sketch, in which Poehler led her fellow nominees in a “beauty pageant.”

Kimmel—who has made social-media pranks a big feature of his late-night show—tried something new by inviting viewers to tweet out a hoax that Tracy Morgan had passed out on stage, a stunt that generated a flood of traffic on Twitter but didn’t have much payoff on the TV screen. (Though Morgan gamely stayed flat on the stage through the commercial break.) The opening skit was most notable for a shocker sight gag with Lena Dunham of HBO’s Girls, naked in a toilet stall eating a cake (reminiscent of Girls itself, in which her character Hannah has a fondness for eating cupcakes in the bathroom), but the effect was probably undercut by the fact that most ABC viewers may have had no idea who Dunham was.

That last bit (suggested, reportedly, by Dunham herself), appearing at the opening of the primetime Emmys, is something of a microcosm of the state of TV today. To many viewers, a guy naked and eating on the can might be weird gross-out humor; but a woman doing the same thing might hit them as bizarre, wrong, offensive, reason to change the channel. That space–the notion of a woman owning her body comedically, and awareness of the conventions it pushes against–is where much of Girls’ humor lives, and that humor is not for everyone.

And it’s Emmy-nominated: as are Louis CK’s rants about mortality and masturbation and Breaking Bad’s photorealistic portrait of a drug dealer’s soul. On the one hand, much of the best TV today is on shows with intensely devoted, but relatively small audiences, largely on cable. The broadcast networks—which after all air the Emmys—produce shows with bigger audiences, but generally less creative ambition. And the Emmys has to bring all this stuff together, the niche and the mass, both as awards subjects and as the stuff of a big mainstream primetime broadcast.

The way Emmy has divvied this up, awards-wise, is largely to cede the drama categories to cable, while keeping comedy as the last redoubt of broadcast. The drama awards this year offered some of the bigger surprises and new winners, even if they were largely from the same show. Homeland unseated Mad Men as best drama, and Damian Lewis dethroned Bryan Cranston as best actor, while Claire Danes deservedly won the actor award. (Breaking Bad’s Aaron Paul did pick up a supporting win, though sadly over the even more deserving Giancarlo Esposito.) As for Homeland—I don’t think it was the best drama of the past season, but it was the best new drama of the last season, and I’m happy enough to see this terrific show get its first trip to the podium.

Cable has made a lot of strong, form-breaking comedies the past few years (Archer, Louie, Girls, It’s Always Sunny in Philadelphia, Curb Your Enthusiasm…), but it’s the one area in which the big networks can still compete, and the one in which Emmy voters–largely veterans of old-fashioned broadcast TV–mostly choose to reward the big broadcasters. (Though they passed over the worthy but low-rated Community and Parks and Recreation for the Best Comedy category.) They did so mostly in the form of now-perennial winner Modern Family: best comedy, best supporting actor for Eric Stonestreet, best supporting actress for Julie Bowen. Jon Cryer[!] won best actor for CBS stalwart Two and a Half Men, while Louis-Dreyfus won for HBO’s Veep (but, one suspects, also largely for having been a network-TV star on Seinfeld, as well as The New Adventures of Old Christine, for which she also won an Emmy). There was a bit of new blood in the welcome wins of Louis CK for comedy writing (for his brilliant FX series) and variety writing (for his standup special), though he was surprisingly subdued as a winner and presenter.

Then there were the Everything Else categories—besides the variety-show award for The Daily Show, there was reality (The Amazing Race, again) and movies and miniseries. The latter category, by nature, doesn’t allow Emmy to give the award to a multiple past winner, but it did follow some familiar patterns, giving awards to a movie star (Kevin Costner) and a high-profile HBO movie, Game Change, which with its caricature of Sarah Palin was not exactly politically uncomfortable for Hollywood. (Disclosure: the movie was based on a book by TIME’s Mark Halperin, along with John Heilemann.)

In all, though, it was at least a fun, nicely paced, competent Emmycast–sort of the Modern Family of awards shows. (That is, not interested in changing much of what it had done in the past few years, not the most breathtaking TV you’ll watch this season, but still capable of delivering a laugh.) And in fact it was fitting that, even as Modern Family the show seemed to be coasting last season (its first season was genuinely excellent, but it often repeats itself now), the show and its cast gave the night some of its best moments. A sketch in which the child actress who plays Lily is portrayed as a holy terror was better material than she had all last season, producer Steve Levitan gives a reliably witty acceptance, and Bowen gave a hilarious speech in which she thanked “the censors at ABC for insisting on nipple covers.”

Really, for better or worse, the Emmys not so much about recognizing not so much TV’s absolute best as it is about negotiating a balance between TV’s actual best–its most ambitious stuff–and the stuff that gets a big audience (which can overlap but often doesn’t). That was the kind of broadcast Emmy, and Kimmel, gave us. It was often predictable. But after all, isn’t predictability a big part of TV too? In http://www.time.com

Inauguration du « Hollywood frenchy »

Imaginée par le réalisateur et producteur  Luc Besson, la Cité du cinéma inaugurée vendredi à Saint-Denis au nord de Paris ambitionne avec neufs plateaux de tournage et une école de cinéma gratuite   d’être un « Hollywood-sur-Seine ».

Cité du cinéma à Saint-Denis (Paris)-Photo:DR-

« C’est la fin d’une bizarrerie. La France a le premier cinéma d’Europe mais c’était aussi le seul pays européen où il n’y avait pas d’infrastructures pour   accueillir la production de films », fait valoir à l’AFP Christophe Lambert,  directeur général d’EuropaCorp, la société de Luc Besson. Il aura fallu 12 ans au réalisateur à succès (Le cinquième élément, Le grand bleu, Nikita) et producteur (Taxi...) pour que son rêve devienne réalité   et qu’il soit désormais possible en France de créer un film de A à Z. En 1997, le cinéaste avait dû « s’expatrier un an et demi » pour tourner Le   cinquième élément. « Ca l’avait rendu malade« , se rappelle M. Lambert.  Le site, celui d’une ancienne centrale thermique, dans le style Art Déco,   est situé dans un quartier populaire.  « La plus belle usine à rêves du monde », comme l’a qualifiée un jour le  producteur Alain Terzian, abrite 23.000 m2 de bureaux, dont 19.000 dédiés à   Europacorp, 11.000 m2 d’activités de production cinématographique, 10.000 m2   répartis en neuf plateaux de tournage et enfin 8.000 m2 qui abritent l’Ecole  Nationale Supérieure du cinéma Louis Lumière.

 « Croiser les stars d’Hollywood à la cafétéria »

Elle accueillera également une autre école du cinéma destinée à accueillir, gratuitement pendant deux ans, une soixantaine d’élèves, sans conditions de   ressources ni de diplômes. L’école, qui propose deux formations  (auteur-scénariste et réalisateur), ouvrira officiellement ses portes le 1er   octobre.  « Ici, enseignement du cinéma et activité professionnelle sont mêlées. C’est   une première en France. Les élèves peuvent croiser les stars d’Hollywood à la  cafétéria, comme par exemple Robert de Niro », se réjouit M. Lambert.  La star américaine est l’une des vedettes du nouveau long-métrage que Luc   Besson tourne depuis le mois dernier, « Malavita », avec Michelle Pfeiffer et  Tommy Lee Jones. Autres films en tournage: « Vingt ans d’écart« , une comédie   avec Virginie Efira qui sortira en mars 2013, et la suite des Schtroumpfs, de  l’Américain Raja Gosnell.  « De gros producteurs américains viennent visiter nos studios et demandent   des devis à Euro Média. C’est très encourageant », se félicite Christophe Lambert, selon qui, « d’ici un an, tous les studios seront remplis à 100% ».  Le financement de la Cité du cinéma avait été bouclé en 2008: 180 millions   d’euros tout compris, dont 150 millions pour l’achat du foncier, détenu à 100%   par la société Nef-Lumière (Caisse des dépôts, groupe Vinci) et 30 millions  pour la construction des plateaux de tournage, financés à 50% par EuropaCorp, à   25% par le producteur et homme d’affaires tunisien Tarak Ben Ammar, 25% par   Euro Média group.  L’inauguration vendredi devait inclure en soirée un dîner privé réunissant   Sophie Marceau, Jean Dujardin, Jamel Debbouze, Alain Terzian, Robert de Niro et  autre Michelle Pfeiffer. AFP

Clap inaugural d’une grande école de cinéma à Paris (France)-Photo:DR-

Luc Besson unveils ‘Film City’ Paris studios

French filmmaker Luc Besson cut the ribbon Friday on his « Film City », a vast studio complex created in a disused power station to offer Hollywood-style facilities right on the edge of Paris.

Director and producer, Luc Besson, the new french tycoon-Photo: All Rights reserved-

« I had always said I’d love to make our own films here in France. This is a beautiful adventure, » Besson told French politicians, film executives and project partners. »And I thank you from the bottom of my heart for believing in this dream, » he said under the vast glass and steel vaults of the 1930s power plant where a giant tubrbine brightly painted by local street artists towered in the centre. The 170-million-euro « Cite du Cinema », a project 12 years in the making, aims to plug a gap in the French film production landscape, which until now had no one studio facility able to see a movie project through from A to Z.Back in 1997, Besson had to spend 18 months in Britain to shoot his sci-fi blockbuster « The Fifth Element ». Besson recalled how « I went with a heavy heart. »

« France has Europe’s biggest film industry »

Christophe Lambert, general director of Besson’s production firm EuropaCorp, said: « France has Europe’s biggest film industry and yet it was the only European country without the infrastructure to produce a film. » So in 2000, the filmmaker set out to create a studio complex that would make it possible to create a film in France from A to Z, in an Art Deco-style former thermal power plant in Saint Denis, a working class suburb north of Paris. Located just outside the Paris ring road, on the edge of the world’s most filmed city, Besson had used the site before to shoot scenes from two hitman dramas, the 1990 « Nikita » and the 1994 « The Professional ». The site of the complex was purchased by Nef-Lumiere, owned by France’s Caisse des Depots and the Vinci conglomerate.Half of the film sets were financed by EuropaCorp, with the Tunisian businessman Tarak Ben Ammar and the Euro Media group splitting the financing on the remaining 50 percent.As well as nine film sets, the Cite du Cinema houses a vast office complex, much of it occupied by EuropaCorp which shifted its headquarters to Saint Denis, as well as film production facilities, and the Louis Lumiere National film school. It will also host a second film school, created by Besson to offer a two-year course in screenwriting or directing, free of charge, to some 60 youths with no prior qualifications.

Meeting the Hollywood stars at the cafeteria

« The students will be able to rub shoulders with Hollywood stars at the cafeteria, » joked Lambert, who says he is fielding quote requests from top US producers and predicts the studio will be fully booked within a year. Besson himself started shooting there over the summer for his new film « Malavita » starring Robert De Niro and Michelle Pfeiffer, who will be attending a private inauguration dinner on Friday night with the likes of Jean Dujardin. And for everybody else, the site is being thrown open Saturday for a one-off tour of what is being dubbed « Hollywood on Seine ». AFP

Paris new studios: The Hollywood « french touch »-Photo: all rights reserved-

Bob Dylan, la légende continue

Bob Dylan, 71 ans, qui sort en début de semaine « Tempest », son 35e album en 50 ans de carrière, est une légende  vivante de la musique populaire américaine du XXe siècle, un pionnier de la  chanson engagée et une influence majeure pour des générations d’artistes.     

Bob Dylan recevant La Médaille de Liberté des mains du Président des Etats-Unis, Barak Obama-Photo:Dr-

Du troubadour folk des cabarets de Greenwich Village à New York, à l’aube   des sixties, jusqu’à la superstar décorée en mai dernier par un de ses « fans »,   le président américain Barack Obama, Robert Allen Zimmerman a toujours suivi   son propre chemin de génie musical, rebelle et imprévisible.  A 71 ans, ce petit-fils d’immigrants juifs russes né à Duluth (Minnesota)   continue de promener son harmonica et sa guitare aux quatre coins de la planète   pour une tournée baptisée « Sans fin ». Il était en Europe cet été et enchaîne   les dates aux USA jusqu’à fin novembre.     Bien qu’il n’ait signé qu’un petit nombre de grands albums après   l’apothéose créative des années 1965-1975, il reste, au même titre que le   tandem Lennon-McCartney, l’un des chanteurs-auteurs-compositeurs les plus   influents de l’histoire de la musique, maintes fois recopié, jamais égalé.

Fils spirituel de Woody Guthrie

Dans sa jeunesse, à l’instar de la plupart des adolescents américains, Bob tombe sous le charme du rock avec Elvis Presley et Jerry Lee Lewis avant de  former son propre groupe.     En 1959, étudiant à l’Université de Minneapolis, il découvre les pionniers   du blues, du country et du folk: Robert Johnson, Hank Williams et Woody   Guthrie. A cette époque, il adopte le nom de scène de Bob Dylan.  Abandonnant les études, il déménage à New York en 1961 pour fréquenter la   scène musicale embryonnaire de Greenwich Village.     Son premier album « Bob Dylan » (1962) est un fiasco. La percée se produit en   1963 avec l’album « The Freewheelin’ Bob Dylan » et ses deux titres folk de   protestation: « Blowin’ in the Wind », chanson pacifiste qui sera un hymne des   années 60 contre la guerre au Vietnam et « A Hard Rain’s A-Gonna Fall ».     En 1963, il participe à la Marche sur Washington autour de Martin Luther   King.  « The Times They Are A-Changin' » est le morceau qui donne le titre à son   troisième album en 1964. Son succès assoit sa réputation, alors qu’il s’éloigne   du mouvement contestataire américain. En guise d’adieu, il écrit « It Ain’t Me   Babe » dans l’album significativement appelé « Another side of Bob Dylan ».     Il se lie avec la chanteuse Joan Baez avec qui il forme un temps le couple   du « roi et de la reine du folk ».     En 1965, avec l’album « Bringing It All Back Home » – une collection   acoustique et électrique qui choque les puristes du folk – il transforme   l’écriture des chansons en fusionnant ses textes poétiques et surréalistes avec   le rythme rock.

 Lunettes noires et chapeau 

Son chef-d’oeuvre « Highway 61 revisited » (1965) avec la chanson « Like a   Rolling Stone » et le double album « Blonde on Blonde » (1966) atteignent les   sommets du rock-folk.     Ses lunettes noires, ses boucles et son chapeau, le transforment   définitivement en icône.   En 1966, après un accident de moto, il se retire vivre avec sa femme Sara,   épousée l’année précédente.   Il revient en 1969, avec l’album purement folk « John Wesley Harding », suivi   par « Nashville Skyline » et ses mélodies country en duo avec Johnny Cash. De   plus en plus il se détache des fans de folk et des milieux de gauche, refusant   d’être l’étendard des contestations et des luttes de l’époque.   Après le très critiqué « Self Portrait » réalisé en 1970 avec des reprises,   Bob Dylan reste discret jusqu’en 1975 quand paraît « Blood on the Tracks », né   durant sa séparation avec Sara.   A la fin des années 70, il découvre le christianisme et déroute une partie   de ses fans.

LYRICIST

Depuis les années 80, son extraordinaire créativité s’est tarie, mais il   parcourt la route sans relâche, sans toujours convaincre. Il était cet été en   France au festival des Vieilles Charrues, où sa prestation a déçu. En 2011, il   s’est produit pour la première fois dans un concert controversé en Chine, et au   Vietnam.   Le chanteur-compositeur à eu de nombreux imitateurs dans les années 1970 et   influencé de nombreux artistes, Leonard Cohen, David Bowie, Jackson Browne, The   Doors, Bruce Springsteen, Talking Heads, The Clash, Nick Cave ou Lenny Kravitz.     « Là où l’on crée de la grande musique rock, il y a l’ombre de Bob Dylan,   encore et toujours », affirme Bruce Springsteen.     AFP

By Associated Press, Updated: Monday, September 10, 2:43 PM

Bob Dylan, “Tempest” (Columbia)“Tempest” is no doubt the best album you’ll ever hear from a 71-year-old.

If that sounds like damning Bob Dylan with faint praise, rest assured this is one of the best discs you’ll hear by anyone this year, at any age. Rather, the point is made to marvel at the vitality of a man who’s been making albums for 50 years and still manages to be relevant.

Bob Dylan has led his fans, and the entire music community, on many journeys over a half century, even a few dead ends. After a detour with 2009’s largely unsatisfying “Together Through Life,” the new “Tempest” continues the improbable late-career renaissance of America’s greatest living songwriter.

The title cut is the centerpiece, a Celtic-flavored telling of the Titanic story, both historically accurate and fanciful. Its 45 verses — no chorus, no bridge — even reference Leonardo DiCaprio. The cinematic look at all manners of behavior in the face of impending doom stretches on for 14 minutes. A watchman who missed the trouble ahead is an indelible, recurring character.

“Tempest” is not even the first epic on the record. “Tin Angel” is an old-fashioned murder ballad, a bloody tale of a tragic love triangle that advances on a rubbery and ominous bass line by Tony Garnier, Dylan’s bass player for more than 20 years and 2,000 concerts.

That bass line is an example of the musical signature of the disc — arrangements that create momentum through repetition. On “Long and Wasted Years,” it’s a descending guitar lick. The hook on “Narrow Way” rocks hard. The pedestrian blues of “Early Roman Kings” shows that approach doesn’t work every time but otherwise, the effect is mesmerizing and directs attention straight to the lyrics. Dylan’s voice is a guttural growl now, that’s no secret, but he knows how to enunciate and sing. None of the words pass by unnoticed.

There’s plenty to be engrossed by. Serious study would take a New Yorker-length article, when one song alone has more verses than most modern albums. Dylan shows quite a violent streak, with one song’s key line being “I pay in blood, but not my own.” The lovely tribute to John Lennon begins with his murder.

Yet the parsing of lyrical clues to discern What Dylan is Thinking is a fool’s errand. Better just to enjoy the story-telling and hidden delights. A phrase like “you’re like a time bomb in my heart” sneaks up and detonates. Dylan’s humor is sly and often overlooked, like on this couplet: “Last night I heard you talking in your sleep, saying things you shouldn’t say. Oh, baby, you just might have to go to jail someday.”

Dylan is an American musicologist, and the variety of styles on “Tempest” adds to the enjoyment. The opening “Duquesne Whistle” swings. “Soon After Midnight” is a love song led by pedal steel guitar. “Pay in Blood” mixes the pedal steel with a soulful backbeat and “Roll on John” has a stately, weary gait that matches the subject matter.

Decades ago, Dylan’s characters, allusions and turns of phrases were the subject of academic study. That this inscrutable lyricist can continue to amaze, amuse, befuddle and bedazzle past retirement age is something to behold. Nobody makes discs like this anymore.

CHECK THIS TRACK OUT: “Long and Wasted Years” is a marvelously-written tale of a love lost to time, with the neat writer’s trick of ending on a title phrase that’s not heard elsewhere in the song.

Scarlett Johansson et Mary J. Blige: rock the vote !

Les actrices Scarlett   Johansson et Eva Longoria sont venues jeudi apporter leur soutien au président  américain Barack Obama, touche de glamour lors de la dernière soirée de la   convention démocrate à Charlotte (Caroline du Nord, sud-est). 

Scarlet Hohansson, une précieuse caution au président Barak Obama-Photo:Dr-

Scarlett Johansson, tee-shirt portant un drapeau américain, a insisté sur   la nécessité pour les jeunes d’aller voter. « En 2008, moins de la moitié des   jeunes de 18 à 24 ans sont allés voter », a-t-elle dit.  « Votez pour faire entendre votre voix », a-t-elle lancé, après avoir raconté  son enfance désargentée en HLM à New York, dans une famille démocrate.  Eva Longoria lui a succédé peu après, racontant elle aussi son enfance  modeste au Texas, l’importance de l’éducation dans sa famille d’origine  mexicaine, et l’époque où elle changeait l’huile des voitures dans un garage et  retournait des hamburgers dans un fast-food.  « J’ai eu la chance d’avoir des opportunités », a-t-elle souligné, affirmant   que le président Barack Obama comprenait la valeur de ces opportunités, car il   les avait lui-même vécues.  « Battons-nous pour le rêve américain. Nos savons comment faire. Il nous   faut réélire le président Obama », a-t-elle ajouté sous les applaudissements.

James Taylor, un ami qui vous veut du bien

Plusieurs autres célébrités sont également montées sur scène jeudi soir à  Charlotte, dont la chanteuse Mary J. Blige et l’enfant de Caroline du Nord, le chanteur de musique country James Taylor.  Caroline Kennedy, fille de l’ancien président assassiné John F. Kennedy,  est également intervenue pour appeler à voter Obama.  Le discours du président était prévu en toute fin de soirée, aux alentours   de 22h (00H10 GMT), après celui de son vice-président Joe Biden. Les stars américaines sont plus souvent démocrates que républicaines. A la  convention républicaine, la semaine dernière à Tampa en Floride, la seule star  à avoir pris la parole avait été l’acteur et réalisateur Clint Eastwood, dont   le dialogue confus avec un Barack Obama invisible, représenté par une chaise   vide, a depuis fait les délices des humoristes de télévision. AFP

Eva Longoria, une autre amie déclarée-Photo:Dr-

While Clint Eastwood is firmly in the Republican camp, Hollywood’s younger generation are throwing their weight behind Team Obama.

Scarlett Johansson and Eva Longoria gave emotional speeches as Barack Obama was named the Democratic nominee for the US election in November at the party’s national convention in Charlotte, North Carolina. They said they supported Obama not just as stars, but as women who came from backgrounds where they saw the impact of government programmes first hand. « I speak to you not as a representative of young Hollywood, but as a representative of the many millions of young Americans, particularly young women, who depend on public and non-profit programmes to help them survive, » Johansson said, recalling accompanying her mother to the voting booth as a child. »This last election, I finally got to punch those buttons for me, for real. I wore my ‘I voted’ pin the whole day. It was my finest accessory. »

Desperate Housewives star Eva Longoria also reflected on her past as she attacked Republican tax plans. Republican candidate Mitt Romney « would raise taxes on middle-class families to cut his own, and mine, » she said. « The Eva Longoria who worked at Wendy’s flipping burgers — she needed a tax break. But the Eva Longoria who works on movie sets does not. »

change

And star names also provided the music, with James Taylor, Foo Fighters and Mary J Blige performing. Barack Obama urged wavering supporters not to give up on their dreams of change, or on him, as he accepted the Democratic party’s nomination for president in what promises to be a tough race. Mr Obama tried to revive the excitement that powered his first run for the presidency. He needs to win over undecided voters, especially those who had been swayed by his inspiring message of hope and change in 2008, but now feel disillusioned after years of economic weakness and political bickering. »The election four years ago wasn’t about me. It was about you, » he said. « My fellow citizens, you were the change. »  He said the American people were responsible for accomplishments on his watch, such as overhauling health care, changing immigration policies and ending the ban on homosexuals serving in the military. If they turned away now, he warned, « you buy into the cynicism that the change we fought for isn’t possible. « Change, » he said, « will not happen ».

Mr Obama built on the message Democrats delivered throughout the convention: America is on the road to recovery and Mr Romney would revive failed policies, cutting taxes for the rich and slashing programmes that give regular Americans a chance for a more prosperous future.

« If you reject the notion that this nation’s promise is reserved for the few, your voice must be heard in this election, » he said. Republicans, who nominated Mr Romney last week, argue that America’s 8.3pc unemployment rate is proof that Mr Obama’s policies have failed and that the president’s spendthrift, big-government policies have hurt businesses and caused the national deficit to soar.

likeable

The two candidates are locked in a tight race. Polls show that Mr Romney, a wealthy businessman and former governor of Massachusetts, is seen as the better candidate for improving the economy, while Mr Obama is viewed as more likeable and having a better understanding of everyday Americans. Mr Obama’s speech marked the climax of the three-day convention. First lady Michelle Obama talked about her husband’s humble roots and compassion on the first day, while former president Bill Clinton gave a rousing speech vouching for Mr Obama’s economic policies.

In http://www.herald.ie/By Jonathan Gray/ Friday September 07 2012

Décès du guitariste américain Joe South

Le guitariste, auteur-compositeur et   interprète américain Joe South, dont un des succès avait été repris en France par Claude François, est mort mercredi à l’âge de 72 ans, a indiqué jeudi Bill  Lowery Music Publishing, sa maison de disques.  

Joe South, un guitariste et instrumentiste de renom-Photo:Dr

Natif d’Atlanta, le guitariste est décédé des suites de problèmes   cardiaques à son domicile en Géorgie (sud).  Joe South, de son vrai nom Joseph Souter, avait connu son heure de gloire   dans les années 1960 avec notamment « Games People Play », qui lui avait valu   deux Grammy Awards en 1969. Numéro 12 dans les charts américains et 7e en   Grande-Bretagne, la chanson, devenue « Jeu Dangereux » en français, avait été   reprise par Claude François.     Parmi les plus fameuses compositions de Joe South, on compte aussi « Down in   the Boondocks » écrit pour Billy Joe Royal, « Hush », le premier succès de Deep   Purple, « Walk a Mile in my shoes » chanté par Elvis, et « Rose Garden », son plus   grand succès commercial, interprété par la chanteuse country Lynn Anderson.

Aux côtés de Aretha Franklin et Bob Dylan

Joe South était également un instrumentiste de renom, accompagnant à la   guitare des artistes tels que Aretha Franklin (« Chain of Fools ») et Bob Dylan   (« Blonde on Blonde »), dans les studios de Nashville (Tennessee, sud) et de   Muscle Shoals (Alabama, sud).     Selon son site officiel, joesouth.com, il s’était retiré de la scène en   pleine gloire dès le début des années 1970 après le suicide de son frère. Il   vivait depuis reclus, tout en continuant à composer. AFP

Joe South révélé par le hit « Games People Play »-PhotoDr-

Singer-Songwriter Joe South Dead at 72

Singer-songwriter Joe South – who penned tunes for Elvis Presley; played on landmark recordings by Bob Dylan and Aretha Franklin; and wrote hits including the Grammy-winning « Games People Play » and « (I Never Promised You) A Rose Garden » – has died at 72 after a heart attack, the BBC reports.

He recorded with Dylan on his 1966 classic Blonde on Blonde-all rights reserved-

South was born Joseph Souter on February 28th, 1940, in Atlanta. He began playing guitar at 11, and was just 17 when he joined Nashville producer Pete Drake’s band in 1957. South became a studio musician, meeting artists like Simon and Garfunkel, Dylan and Franklin, and began to seriously write songs that blended country and pop with a hint of psychedelia in the Sixties.

He recorded with Dylan on his 1966 classic Blonde on Blonde, played on Franklin’s 1967 single « Chain of Fools » and saw Elvis Presley sing his « Walk a Mile in My Shoes » on Presley’s’ 1970 live album On Stage. South’s track « Hush » later became a hit for Deep Purple, and he won two Grammys in 1969 for his single « Games People Play. » South’s biggest hit came in 1971 when Lynn Anderson covered « (I Never Promised You A) Rose Garden). »

South took several years off after the suicide of his brother Tommy. He made a brief return in 1975 with a new album, Midnight Rainbows, but walked away from the industry soon afterwards. Drug abuse hampered his career, and South’s first marriage ended in divorce. He eventually went to rehab before marrying for a second time in 1987. A funeral service will be held Saturday in Atlanta, Georgia.

By Rolling Stone
September 7, 2012 10:10 AM

Rolling Stones : Greatest hits et deux inédits

Les Rolling Stones ont annoncé mardi la  sortie mi-novembre d’un nouvel album reprenant leurs grands succès et deux  nouveaux titres – leur premier enregistrement commun depuis sept ans – mais sans évoquer le retour sur scène escompté par leurs fans.

The Rolling Stones, un groupe légendaire et pair des Beatles-Photo:Dr-

Baptisé « Grrr! », cet album sortira en plusieurs formats, notamment trois CD   reprenant 50 morceaux du répertoire du mythique groupe de rock britannique, qui   fête son 50e anniversaire cette année, selon son site internet.  Il sera aussi proposé en vinyle. Une version « Grand Luxe » sera également   disponible avec 4 CD et 80 morceaux.  Aux côtés des célèbres « The Last Time », « (I Can’t Get No) Satisfaction »,  « Get Off Of My Cloud », « Jumping Jack Flash » ou « Honky Tonk Women », l’album   inclura deux nouveaux titres « Gloom And Doom » et « One Last Shot » terminés le   mois dernier à Paris.  C’est la « première fois que Mick Jagger, Keith Richards, Charlie Watts et   Ronnie Wood se retrouvent tous ensemble dans un studio d’enregistrement depuis   l’album A Bigger Bang en 2005 », souligne le site officiel du groupe.  La sortie mondiale de ce nouvel opus est prévue le 12 novembre, à   l’exception de l’Amérique du Nord où il sera disponible à partir du 13 novembre.

« Fifty » licks

Les Stones avaient déjà sorti une compilation « Forty Licks » pour leur 40e   anniversaire en 2002.   Leur communiqué ne fait toutefois pas mention du fait que le groupe   pourrait remonter sur scène, comme l’avait annoncé la semaine dernière le site   de musique américain spécialisé Billboard.   Ce dernier avait évoqué, sans citer sa source, quatre concerts en novembre,   deux à l’O2 Arena à Londres et deux autres au Barclays Center de Brooklyn.  D’après Billboard.com, ces concerts devaient être organisés par le   milliardaire britannique Richard Branson, patron du groupe Virgin, et le   promoteur australien Paul Dainty.  Le groupe lui-même avait contribué à alimenter les spéculations en   promettant à ses fans « une annonce excitante » mardi.  En juillet, le guitariste Keith Richards avait aussi confié à la BBC « que   l’idée (d’un concert) était dans l’air et qu’il y avait eu quelques   répétitions », mais sans dire quand un concert aurait lieu.  La dernière tournée des Stones, le « Bigger Bang » tour, s’est déroulée de   2005 à 2007.  Mick Jagger a aujourd’hui 69 ans, Keith Richards 68, le batteur Charlie   Watts 71 et le guitariste Ron Wood 65. AFP

The Rolling Stones, à l’époque du « Swinging London »-Photo:Dr-

GRRR! The Rolling Stones announce greatest hits album

The Rolling Stones, ABKCO Music & Records and Universal Music Group are pleased to announce the release of GRRR! by the Rolling Stones on the 12th November 2012 for the world, excluding North America, and on the 13th November 2012 in North America.

‘Grrr! »: beware of The Rolling Stones!-All Right Reserved-

Available in five different formats, including a three-CD 50 track version including 50 tracks, and a four-CD super-deluxe version gathering a whopping 80 tracks, the collection tells the fascinating ongoing story of the Greatest Rock’n’Roll Band In The World, from their high octane version of Chuck Berry’s “Come On”, their first single issued in June 1963, via the thrilling chart-toppers “The Last Time”, “(I Can’t Get No) Satisfaction”, “Get Off Of My Cloud”, “Jumping Jack Flash”, “Honky Tonk Women” and the perennial juke-box and concert favourites “Brown Sugar”, “Tumbling Dice”, “Miss You” and “Start Me Up”, all the way to the present day with the inclusion of “Gloom And Doom” and “One Last Shot”, two new studio recordings recently completed by the group in Paris, France in August 2012.

These brand new recordings constitute the first time Mick Jagger, Keith Richards, Charlie Watts and Ronnie Wood have all been together in the recording studio since completing the exalted A Bigger Bang album in 2005, and follow on from the critically-acclaimed expanded re-releases of the historic 40th Anniversary live Madison Square Garden concert Get Yer Ya-Ya’s Out in November 2009, and of two of their seventies masterworks, Exile on Main St., in May 2010, and Some Girls, in November 2011.

All GRRR! formats will feature a striking painting by award-winning American artist Walton Ford, who has created the latest in a long line of iconic artwork that has always been part of the band’s DNA. n celebration of the Rolling Stones’ incredible journey, an innovative campaign has been launched to reveal their GRRR! Greatest Hits album sleeve using 3D Augmented Reality.

During a three week teaser campaign fans were invited to download the free uView app in preparation for the announcement. From today, using the uView app fans can scan the GRRR! sleeve and watch the stunning imagery come to life in 3D animation right before their eyes. The campaign will have further exciting updates coming soon. The use of one of the most advanced forms of mobile technology currently around solidifies The Rolling Stones as one of the most innovative bands in the world and as relevant as they have always been. The technology has been developed in partnership with Aurasma, the leaders in image recognition and augmented reality technology. http://www.rollingstones.com